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El banquete fúnebre que se describe en este capítulo remite al de otro cuento clariniano, Manín de Pepa José, incluido en la colección póstuma Doctor Sutilis. (N. del A.)

 

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Tal vez pueda detectarse en este final un influjo del también «trascendente» cierre del relato flaubertiano de 1877 Un coeur simple:

Une vapeur d’azur monta dans la chambre de Félicité. Elle avança les narines, en la humant avec une sensualité mystique, puis ferma les paupières. Ses lèvres souriaient. Les mouvements de son coeur se ralentirent un à un, plus vagues chaque fois, plus doux, comme une fontaine s’épuise, comme un écho disparît; et, quand elle exhala son dernier souffle, elle crut voir, dans les cieux entrouverts, un perroquet gigantesque, planant au-dessus de sa tête.

(Flaubert, pág. 83) (N. del A.)

 

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No se ha señalado nunca que yo sepa, a propósito de la relación entre los dos autores, la opinión favorable que Chateaubriand mantiene en su Ensayo sobre la literatura inglesa sobre las mujeres judías en contraste con los hombres: «Les juives, lui dis-je, ont échappé à la malédiction dont leurs pères, leurs maris et leurs fils ont été frappés. On ne trouve aucune juive mêlée dans la foule des prêtres et du peuple qui insulta le Fils de l’Homme, le flagella, le couronna d’épines, lui fit subir les ignominies et les doleurs de la croix. Les femmes de la Judée crurent au Sauveur, l’aimèrent, le suivirent, l’assistèrent de leur bien, le soulagèrent dans ses aflictions... Le Christ, à son tour, étendit sa miséricordie et sa grâce sur les juives» (1847, V. pág. 150). (N. del A.)

 

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Es Marc Vernet quien habla de «figuras de la ausencia» en el cine (1988). (N. del A.)

 

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«L’idée du néant et celle de l’éternité dont les vagues et le granit semblent l’image, dominent l’une et l’autre sa vie et son oeuvre. Mais pour une âme religieuse la mort aussi est à la fois néant et éternité» (Clarac, pág. 14). (N. del A.)

 

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La importancia de la Autoridad se observa, asimismo, en el recurso a las citas de autoridades religiosas, a lo didáctico y a la afirmación, pruebas de una presencia que bloquea o contradice la apelación al misterio que Chateaubriand hace desde el capítulo tercero del Genio (Barbéris, pág. 130). (N. del A.)

 

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Rica Brown afirma, sin embargo, que tanto en Chateaubriand como en Bécquer «la fe cristiana se basa menos en la verdad del cristianismo que en la belleza de sus manifestaciones en el arte y la arquitectura» (219). (N. del A.)

 

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Las alusiones intertextuales a Chateaubriand por parte de Bécquer son, no obstante, muchas más; desde ese gusto por contrastar las tumbas de los poderosos con las de los niños, visible en las rimas LXXIII, LXXIV y LXXVI, tal como ha sido señalado por Sebold (1992, pp. 92 93), hasta las imágenes de los árboles que rezan por el alma del poeta, semejantes al «murmure plaintif du feuillage et des airs» de la penúltima estrofa del poema Tumbas campestres, o los juncos rodeados de lirios amarillos, que probablemente remitan a las «papillons d’or» que cubren los juncos en otro poema del francés, Quatrième tableau. Le soir dans une vallée. (N. del A.)

 

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Esa tensión entre los dos polos genera la ambigüedad de René, según Barbéris: «D’une part, René appuie la thèse du Génie (danger des passions, de la complaisance a soi-même, et fécondité littéraire et psychologique du christianisme); d’autre part, il le mine ou le faire lire autrement (prégnance des passions, problème de la jeunesse)» (125) (N. del A.)

 

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La luna emparentada con los sueños del poeta es un tema recurrente en Chateaubriand. Ya en Genio del Cristianismo decía lo siguiente: «On retrouve dans la clarté de la lune le Génie des rêveries du coeur; on entend ses soupirs dans le frémissement des bris et dans les plaintes de Philomèle» (1847, III, pág. 121). (N. del A.)