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Morgades, Cartas del 7 al 16 de Noviembre de 1894, Seminario de Historia Contemporánea de la Iglesia en Cataluña, dirigido por Joan Bonet i Baltá. (N. del A.)

 

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Correspondencia del 16 de Noviembre de 1894 entre Morgades y Mgr. Cretoni, Archivo del Seminario de Historia Contemporánea de la Iglesia de Cataluña, consultada gracias a la amabilidad de su director, Joan Bonet i Baltá. (N. del A.)

 

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Algunos diccionarios franceses (Robert, Larousse), ampliando el campo, establecen el límite en el ámbito de la cultura occidental. (N. del A.)

 

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«Adieu les vagues prestiges dont on était paré au retour de régions lointaines. Il n’y a plus de régions lointaines. Vous vous en allez passer quelques mois à la campagne. Vous rentrez à Paris au temps où les gens du monde y reviennent... pendant la peu de temps que vous les avez quittés, celui-ci a traversé le Sahara, cet autre a été voir les ruines de Thèbes ou les palais de Grenade, ou les rives de la Néva. Celui qui n’a été qu’en Allemagne se tient humblement à l’écart et n’ose dire un mot d’une si petite excursion. De quel côté se tourner, grand Dieu! pour pouvoir dire qu’on vient de loin? Ne va-t-on pas en vingt jours de Suez à Bombay, en trois semaines de Londres à New York, et avec les bateaux transatlantiques n’ira-t-on pas de même en quelques semaines de Bordeaux au Mexique? Du Mexique au cap Horn il n’y a qu’un pas. Une hélice et quelques tonnes de charbon en feront l’affaire... Décidément notre globe est trop petit... bientôt il n’y aura plus de voyages extraordinaires»: X. Marmier, Du Rhin au Nil, París, 1846, vol. II, págs. 2-3; cit. por Jourda, pág. 22 nota 1. (N. del A.)

 

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«Il y a eu des temps où l’impression de voyage n’existait pas. [...] Il est donc possible qu’on voyage sans regarder, ou bien qu’on regarde sans voir. Il a fallu que Bernardin de Saint-Pierre vit les étranges paysages de l’Amérique et des Indes pour créer en quelque sorte la couleur locale. [...] Eh bien, Bernardin de Saint-Pierre lui-même ne trouve d’admiration que pour les arbres et pour les fleurs; il a vu l’Italie et la Flandre et l’Allemagne sans y remarquer autre chose que des villes bien ou mal bâties»: G. de Nerval, Voyage en Orient, París, Calmann Lévy, 1883, t. II, págs. 438-440, cit. por Jourda 1938, pág. 17. (N. del A.)

 

136

Sobre estas expediciones puede consultarse AA. VV. 1989 (obra rica en información e iconografía), así como la bibliografía crítica recogida por Aguilar Piñal 1988, págs. 282-286. (N. del A.)

 

137

Véase para las ediciones, así como para los estudios sobre esta obra, Aguilar Piñal 1981, I, págs. 483-484. (N. del A.)

 

138

Se publicó en Madrid, en 1798, traducido por María Josefa Luzuriaga. (N. del A.)

 

139

Véase el vaciado del periódico en Iglesias y Mañá 1968. (N. del A.)

 

140

Texto citado por Bravo Morata 1972, págs. 79-81, sin indicar la fuente. (N. del A.)