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1

Reproduzco, con leves cambios, el texto preparado para el I Congreso de literatura Comparada, celebrado en Madrid el 3 y 4 de mayo de 1974.

 

2

«Concepts of Form and Structure in Twentieth-Century Criticism», en R. Wellek, Concepts of Criticism, ed. Stephen Nichols, Jr., New Haven y Londres, 1963, pág. 54.

 

3

Véase R. Wellek y A. Warren, Theory of Literature. 3.ª ed. Nueva York, pág. 141.

 

4

Forme et signification, París, 1963, pág. X.

 

5

Agrego otro texto de Rousset, que dice de la idea de forme en Forme et signification, página XI: «tenons tout d'abord pour assuré qu'elle n'est pas toujours où on s'imagine la voir, qu'étant jaillissement des profondeurs et révélation sensible de l'oeuvre à elle-même, elle ne sera ni une surface, ni un moulage, ni un contenant, qu'elle n'est pas plus la technique que l'art de composer et qu'elle ne se confond pas nécessairement avec la recherche de la forme, ni avec l'équilibre voulu des parties, ni avec la beauté de ses éléments. Principe actif et imprévu de révélation et d'apparition, elle ne saurait se réduire ni à un plan ou à un schéma, ni à un corps de procédés et de movens».

 

6

En L'Ecriture et la différence, París, 1967, págs. 9 y ss. Derrida se inventa a un maniqueo para refutarlo. Ese maniqueo no puede ser Jean Rousset. Cuando Rousset señala una «espiral ascendente» en cierto teatro de Corneille, no se trata de un mero esquema abstracto descriptivo, sino de la percepción unitaria y estética de un movimiento sucesivo de integración -«principio activo» (véase la cita de la nota precedente) que es también la «fuerza», la forte, de una respuesta o de una actitud ante la vida y la Historia.

 

7

Todorov, Poétique de la prose, París, 1971, pág. 20.

 

8

Ibíd., pág. 137.

 

9

Ibíd., pág. 160.

 

10

Ibíd., pág. 44.