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11

Gómez Carrillo, Enrique, «La bohemia eterna», El primer libro de las crónicas.

 

12

Darío Rubén, «Alejandro Sawa», prologue à Iluminaciones en la sombra de Sawa Alejandro, Editorial Alhambra, Madrid, 1977, p. 69.

 

13

L'entrevue tourna mal et court, ainsi que nous le raconte Darío: «Nous nous sommes approchés avec Sawa, je me suis présenté: "Poète américain, admirateur, etc.". J'ai murmuré en mauvais français toutes les phrases de dévotion qui m'a été possible de former, j'ai conclu avec le mot gloire... Et là, allez savoir ce qui s'était passé cette après-midi chez notre malheureux maître, mais, toujours est-il qu'il s'est retourné vers moi et, tout en frappant contre la table, il me dit d'une voix basse et poitrinaire: "La gloire!... La gloire!... M. M. encore!...". J'ai cru prudent de me retirer et d'attendre une autre occasion plus propice. Cela, je n'ai jamais pu le réaliser à nouveau, car les nuits où je me retrouvais avec lui, il était à peu près dans le même état. C'était vraiment triste, douloureux, grotesque et tragique. Pauvre "Pauvre Lélian! Priez pour le pauvre Gaspard!..."» (Darío Rubén, Autobiografía, Ed. Universidad de Buenos Aires, 1968, p. 97).

 

14

Sawa, op. cit., p. 223.

 

15

Granjel Luis Sánchez, «Maestros y amigos del 98: Alejandro Sawa», Cuadernos Hispanoamericanos, n.º 195, marzo de 1966, Madrid, p. 436.

 

16

«Sawa est mort en beauté, sans une contraction sur son beau visage, sans une phrase maladroite ni un geste laid» (Zamacois Eduardo, Un hombre que se va (Memorias), Buenos Aires, 1969, p. 177).

 

17

Gómez Carrillo Enrique, «La bohemia eterna», El primer libro de las crónicas.

 

18

Ibid.

 

19

Ces mots élogieux d'Hermann Bahr, originellement publiés dans le Deutsche Zeitung de Vienne puis reproduits dans Le Mercure de France de septembre 1893 (n.º 157), étaient consacrés à Alejandro Sawa. La légende Sawa allait de Madrid à Vienne, en passant par Paris!

 

20

Darío, op. cit., p. 71.